Ont étaient chaudes ce jour là et on voulaient faire une partouze avec nos mecs. Devant leur console de merde, ils nous ont envoyés chier comme d’habitude, ces connards. Fatia et moi ont décidaient alors de quitter Lyon pour se rendre sur Grenoble et prendre l’air. Quitte à faire une une heure de route on s’en foutaient.
Fatia conduisait la voiture et on profitaient pour mettre la musique à “donf” sur l’autoroute. On rigolaient comme des jeunettes pour noyer notre frustration. Nous on voulaient juste baiser, basta !
Arrivés à l’entrée de la ville les beaux garçons ne manquaient pas et on se demandaient lequel serait notre prochaine victime sexuelle.
Notre choix se portaient vite fait sur un mec qui marchait avec une bande potes. Le plus mignon de la bande d’ailleurs. On s’approchaient de lui en voiture, arrivés à son niveau je baissai la vitre pour lui demander :
“S’il tu plaît, tu pourrais nous indiquer la route de Géant Casino ?”
“Oui, bien sûr, tu dois aller tout droit et prendre la deuxième à droite, puis tout droit.”
“Ok, mais on n’est pas d’ici et on a peur de se tromper, tu peux nous accompagner ?”
Le gars eu un moment d’hésitation, ce que je pouvais comprendre mais il valait mieux qu’il vienne avec nous parce qu’on lui réservaient une petite surprise ! Il demanda à un collègue de la bande de l’accompagner. Je le stoppa sur le coup en lui disant que c’était seulement lui.
Que faire maintenant ?
Il nous dévisagea encore sans rien dire et accepta de monter à l’arrière de voiture après quelques secondes d’hésitation. Fatia se mit en route en suivant les consignes du beau gosse. On avaient notre victime, il nous fallait maintenant un lieu au calme pour passer aux choses sérieuses.
En passant devant Géant Casino, le gars nous signala que nous y étions, mais on ne prépaient plus attention à ses paroles. Je me retournai vers lui avec mes lunettes de soleil et lui sourit en disant :
“Tranquile mon chou, on est bientôt arrivés”
“Comment ça on est bientôt arrivés, ça y est vous y êtes, alors laissez moi descendre !”
Il commençait à bouger dans tous les sens prit de panique, Fatia lui dit clairement en le regardant dans le rétroviseur intérieur :
“Tu veux du sexe avec nous beau gosse ? Parce qu’on est en manque !”
Le mec ne dit plus rien sur le coup, il avait l’air assez étonné mais pas forcément contre. Dans notre genre, ont étaient des jeunes beurettes plutôt sympa et bien foutues.
Pour être franche avec vous, j’avais trop envie de me le faire de ce petit Français. Je commençai à me toucher la chatte le temps du trajet.
Deux minutes après, Fatia nous amena dans une zone industrielle à l’abandon aux en- dehors de Grenoble et arrêta la voiture.
“On fait quoi ?” Nous dit le mec
“On baise” Je lui répondis direct
Je passai sur la banquette arrière de la voiture pour rejoindre ma victime. Il m’accueillit délicatement et on commençaient à se rouler des patins longuement tandis que Fatia nous regardaient en se caressant la clitoris à l’avant de la caisse.
Le gaillard était plutôt bien bâti, ce qui me donna envie d’ouvrir son pantalon pour aller chercher la bestiole. Assez surprise par l’outil je commençai à le branler dans son caleçon, ça lui plaisait beaucoup. De son côté il déboutonna mon short avec un doigté irréprochable je présentai déjà qu’il allait être un bon coup.
Un fois bien dur, je montai sur lui pour m’enfiler sa bite. Cette glissade fut magique ! Aussi bien pour lui que pour moi. Sa bite me faisait un bien fou, elle s’enfonçait peu à peu grâce à la mouille de les caresses. Les traits de son visage étaient déformés par le plaisir que lui procurait mon vagin, je le chevauchai lentement :
“J’ai jamais baisé la chatte d’une petite arabe… qu’est ce que t’es bonne… !”
“Aaah…!! J’avoue qu’une bonne bite de Français c’est encore meilleur…”
Je couinai comme une chienne
Fatia se glissa derrière avec une folle envie de se faire prendre aussi par l’étalon. Mais il était déjà occupé avec moi, il lui fourra donc trois doigts dans la chatte en guise de pénis. Fatia en fit par défaut son gode personnel gémissant de plus belle.
Je finis par jouir sur sa teub et le fait de me voir comblée l’excita tellement qu’il gicla toute la crème juste après. Malgré la capote ce fut un coït parfait. Fatia ne tarda pas non plus à faire couler la cyprine sur une bonne partie de la banquette arrière.
Ce fut une orgasme collectif inoubliable dès plus excitants. Je remercie ce Grenoblois de nous avoir montré la voie du plaisir à la française.
Samia et Fatia, 25 et 26 ans, Lyon