Boit, drague et baise ! (Histoire vraie)

Histoire de sexe au téléphone rose

J’allai voir un client cette après-midi là et pour une fois, le soleil avait décidé de pointer le bout de son nez et de réchauffer l’agglomération Lilloise.

Immédiatement, l’opportunité d’aborder une jeune femme sortant d’un coiffureur low-cost de l’avenue Gambetta, se présenta à moi.

-”Hey salut mais tu rayonnes dis donc” je lui lançai en souriant, d’un ton naturel et sincère en guise de compliment.

-”Merci” répliqua-t-elle

-”Il fait beau aujourd’hui, c’est assez rare ici à Lille. Je m’en suis rendu compte parce que je ne suis pas de la région. Et Sinon tu en profites pour faire tes petites affaires, genre ballade, shopping, coiffure ?”

-”Oui, c’est ça”

-”T’as bien raison, ben, moi aussi j’ai décidé d’en profiter. J’aimerai aller prendre un verre, ça te dit de venir, au fait, moi c’est Julien ?”

-”Enchantée, moi c’est Jade. Je ne sais pas trop, je dois rejoindre une copine dans quelques minutes”

-”Ça n’engage à rien vraiment, on prends un verre, on rigole, on discute pour changer le monde ensemble et basta ! Moi je trouve que c’est un bon programme” d’un ton sincère et amical avec un sourire.

De toute façon, je n’attendais rien de cette approche. Si elle était intéressée elle accepterai la proposition et si non, tant pis pour elle. J’avais surtout envie de sentir que je pouvais m’adresser à une fille sans avoir aucune arrière pensé, même si c’est faux. C’était l’objectif que je m’étais fixé, aborder, échanger, partager et plus si affinités. En étant clair avec ce principe, cela se reflétait dans mes échanges.

-”Ok d’accord, ça marche mais un verre alors” répondit-elle

-”Cool ! Rien qu’un seul promis !” avec un sourire.

Une belle proposition

On marchait ensemble et en cours de route elle me proposa de nous rendre à une taverne à bière, rue des primeurs. J’acceptai volontiers car je n’étais pas du coin. Un coin très sympa cette taverne avec une ambiance tamisée et agréable. Apparemment elle connaissait le propriétaire, était-ce une façon de me familiariser avec les lieux ou bien de se sentir en sécurité après une rencontre hasardeuse dans la rue.
Bref, assis à une table on commandaient deux bonnes pintes et on commençaient à discuter de nous et d’autres choses.
Par moments, je m’amusai à sexualiser la conversation et faire des petites allusions :

-”T’es plutôt du style à te faire aborder ou à aborder quand le mec te plaît ?”

-”Tu parles de toi ?” Lança-t-elle

-”Je parle plutôt de toi, Jade” en souriant

-”Disons que si le gars me plaît je suis prête à aller le brancher surtout quand je suis bourré”

-”Alors je te paye un verre, direct !” avec humour

Rires de sa part et regard coquin en buvant sa bière. Elle se leva ensuite pour aller aux toilettes et j’en profitai pendant ce temps pour appeler mon client et lui raconter une excuse pour annuler le rendez-vous. Disons que j’avais d’autres chats à fouetter.

En revenant, ont pris nos affaires pour payer et s’en aller. Soit disant elle devait aller voir une copine juste après. Je décidai de faire un bout de chemin avec elle et sentais que je lui plaisait et ne pas saisir l’occasion serait louper l’affaire.

Sur le coup elle s’exclama :

-”C’est trop loin”

puis la seconde d’après elle dit l’inverse de ce qu’elle affirmait :

-”Mais je peux aussi prendre un métro direct dans cette rue”

-”Parfait alors je te raccompagne, c’est la moindre des politesses” j’enchaînai aussitôt

Dans le métro ont restaient debout juste au début du trajet, avec les secousses et le gens qui rentraient et sortaient, l’espace à occuper était restreint. Sur un virage un peu sec, je la prenais par la taille en la ramenant vers moi pour l’empêcher de tomber. Ma main continuait de monter le long de son dos pour arriver à sa nuque puis je lui roulai une pelle.

Arrivés chez elle, on restait devant son entrée comme si elle ne voulait pas me laisser monter alors que j’avais un folle envie de monter et la baiser. Pour mettre terme aux paroles j’esquissai un sourire en la regardant et lui lançai :

-”Franchement, t’es mal polie, ça fait dix minutes qu’on parles et tu ne me proposes même pas de monter pour prendre un verre ?” sur une ton déconneur

Avec un sourire, elle ouvrit directement la porte d’entrée du bas de l’immeuble. En montant les marches jusqu’au premier j’avais les yeux rivés sur son cul et je jubilai intérieurement en me disant que dans quelques instants j’allais me farcir ce p’tit cul !

On rentraient dans on petit appartement et je la félicitai d’en avoir un si jolie. On continuaient à échanger mais on savaient tous les deux ce qui allait se passer. Je la prenais à nouveau par la taille et l’embrassai. Elle me prit alors par la main et me guida jusqu’au lit. Je commençai à la déshabiller et j’en fis autant pour moi. Je m’allongeai sur son lit et lui pris la tête pour la ramener jusqu’à ma queue toute dure. Sans paroles, elle se mit lentement à me sucer les boules, en glissant, sa langue montait progressivement, pour la gober toute entière dans sa bouche.

Jade était une grande blonde aux yeux clairs et avec un corps mince et sexy ! Je me laissai pomper un bon quart d’heure et pris la relève en lui léchant la chatte. Jade bougeait lentement dans tous les sens car elle aimait ce que je lui faisait. Sa tête bougeait de gauche à droite et droite à gauche les yeux fermés et plus elle bougeait plus j’allais profond avec ma langue.

J’arrêtai d’un coup en me redressant avec mon sexe dur et lui enfonçait l’outil entre les jambes pour qu’elle puisse bien la sentir. Elle poussa des cris les uns plus forts que les autres, ma bite se frayait tant bien que mal un chemin pour rentrer dans ce petit vagin. Il semblait qu’elle n’avait pas baisé depuis un petit moment ce qui expliquait l’étroitesse des ses parois et ses gémissements dès le premier contact.

Au démarrage des premiers frottement contre ses parois je commençai peu à peu à décoller…sa chatte étroite, chaude et humide me rendais fou. C’était comme baiser avec une asiatique.

De père Français et mère Anglaise, Jade était une vraie cochonne, depuis le début elle me braqué des yeux en me disant en anglais :

Fuck me, Fuck me, Fuck my pussy…!

C’était si excitant de l’entendre parler anglais qu’après quelques minutes je la retournai sur le lit en lui disant : Now I’ll fuck your ass ! Bitch !

Je sortais une capote et l’enfila, un filet de salive coulai de ma bouche sur don trou du cul et je malaxai avec mes doigts. J’approchai le bout de ma bite juste devant son orifice et commençai à rentrer. Je lui disais de se détendre, mais elle ne voulait rien savoir et ne se laissait pas faire, c’est alors que je la plaquai sa tête contre l’oreiller et d’un geste sec j’enfonçai ma queue. Le lubrifiant de la capote joua un rôle important dans le glissement rapide et profond dans son cul.

Elle cria comme jamais et s’exclama :

-“Je pensais pas que ça pouvait rentrer aussi facilement, qu’est ce que c’est booon !”

Son cul était vierge de toute intrusion jusqu’à ce jour ou elle découvrit le plaisir de la sodomie.

Comme un porc, je lui déchirai le cul à coups de va-et-vient, elle hurlait encore et encore de mal et de plaisir à la fois. C’était tellement bon que je ne voulais plus m’arrêter, sentant la fin proche je retirai la capote et enfourné de nouveau, c’était encore meilleur. Après quelques minutes de plaisir intense dans son cul je fini par jouir en criant tandis que Jade me regardait fixement, tête sur l’oreiller excitée comme une chienne.

Julien, 33 ans, Montpellier.


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