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Histoire bandante vécue dans un TGV Toulon-Paris - Plein de Salopes au tel ici !

Histoire bandante vécue dans un TGV Toulon-Paris

Histoire de sexe au téléphone rose

Ce matin je montais dans le TGV de 6h30 en Gare de Toulon, voie A. Je me rendais à Paris pour passer le concours d’admission à une grande école de dessin animée Parisienne. En fait, cette matinée stoppa net mes idées noires d’echec au concours.

En prenant place au siège 52 de la voiture 7 de ce TGV j’étais quasiment seul dans le compartiment. Trois, voire quatre personnes prenaient place lentement. Mon assise se trouvait coté couloir dans un bloc central de quatre places. J’attendais donc trois autres personnes.

Les personnes qui montaient se dirigeait souvent vers la voiture d’en face. Une femme sortait de la queue et se dirigeait vers ma voiture. Au passage elle déposa sa petite valise rouge dans le couloir avant de rentrer par la porte vitrée aux ouvertures latérales. Elle me regarda de manière fugace et trouva sa place à ma gauche, côté couloir aussi, dans l’autre bloc central de quatre places. Le couloir nous séparait.

La porte vitrée se referma est le calme régna à nouveau dans la cabine, nous laissant à l’écart du bruit des passagers agités.

Des idées lubriques…

Je la regardai de dos car elle retira son manteau et sa veste de tailleur. Elle se trouvait debout presque devant moi. Baissant la tête, mes yeux se braquaient sur sa jupe de tailleur pour deux raisons : La première, elle était à hauteur du regard et la seconde pour m’imaginer à quoi ressemblerait ce que j’avais sous les yeux sans jupe ni tanga.

Ça y est ! La première idée érotique de la journée avait fait irruption dans ma tête.

Jeune quadragénaire, de taille normale, aux formes très agréables, cheveux longs bruns avec une queue de cheval, le visage doux et sérieux. Elle s’assit et me regarda aussi.

Une chose à laquelle je ne prêtai pas attention dans les secondes qui suivirent son assise, c’est qu’elle retira ses bas et ses talons à aiguilles. Ce qui me fit tourner la tête de nouveau en sa direction ce furent sa paire de jambes nues. Légèrement pliées, posées sur le fauteuil d’en face, et présentées telles une devanture de lingerie. En effet j’y restais figé de manière naturelle et automatique. Il n’y a pas d’explication, c’est comme ça, n’importe qu’elle mec est sensible à une belle paire de jambes. Vous êtes d’accord avec moi ?

Ce qui me surpris encore plus c’est qu’elle m’avait capté en train de mater ses jambes. Je la regardais alors en noyant mon regard dans le sien et les secondes furent assez longues. Les premières milli-secondes de son regard peuvent être interprétées de façon logique. Mais les suivantes, surtout si son regard est insistant, vous font comprendre autre chose. L’interprétation de son regard suivi plusieurs étapes qualificatives dans ma tête, dans l’ordre : mal politesse, excuses…

Provocation, envie, plaisir, excitation, sexe…  

Sans tarder, je lançai un : “Bonjour”

Elle répliqua aussitôt : “Bonjour”

“Vous aussi vous êtes matinale pour monter sur Paris” continuai-je

“En effet, le monde appartient à ce qui se lèvent tôt, non ?” léger sourire de sa part

“Dans ce cas il y a très peu de courageux dans ce wagon” en souriant à mon tour

“Vous habitez Toulon ?”me lança-t-elle

“Oui, vous aussi ?”

“Toulonnaise de pure souche” répondit-elle en montrant un joli sourire

Je ne sais pas trop mais j’avais envie de me la faire malgré son âge. Elle était si séduisante et sexy. Jamais une femme mature n’avait atteint un stade de perfection physique si avancée à mes yeux.

En prenant mon audace à deux mains et d’un ton aussi naturel que possible je lui proposai d’aller boire une café au mini-bar du TGV.

Sans hésiter et à mon plus grand étonnement, elle accepta en souriant. Un peu comme si elle se sentait flattée d’être courtisée par un jeune homme un peu culotté.

Au mini-bar, on discutait de tout et de rien, elle jouait le jeu et progressivement je me sentais plus à l’aise avec elle. Aussi, progressivement, la conversation fut agrémentée de petites allusions sexuelles. Au début c’était pour rire mais ensuite ça devenait sérieux.

Elle me regarda avec le même regard qu’auparavant dans la cabine, profond, long et sensuel et me prit par la main. Nous quittâmes le mini-bar pour nous enfermer dans le premier WC libre du TGV. Des gens nous virent au loin de part et d’autres des cabines, et vous savez quoi ? C’est un truc tellement inhabituel qui m’arrivait là que je m’en foutais complètement de ce qu’ils pensaient.

Une fois enfermés, elle se jeta sur moi

Je fis glisser mes mains le long de son corps, sa taille, ses fesses et ses cuisses, tout son corps fut palpé. Elle s’assit alors sur le bord du petit lavabo en écartant ses cuisses, je retirai son tanga avec fermeté et j’en profitai pour baisser mon froc laissant apparaître sous mon caleçon mon sexe en érection. Je le prenais en main pour le rapprocher de l’entrée de son vagin. J’entrai violemment d’un seul coup de rein. Elle laisse sortir un cri de plaisir alors que je me délectais du plaisir voluptueux dans son entrejambe. L’étroitesse des lieux nous obligeait à rester collés l’un à l’autre. Elle gémissait doucement à mon oreille ce qui avait pour effet de m’exciter davantage et je la regarder dans les yeux au fur et mesure que mes coups de pistons devenaient plus forts. Quelques minutes après j’éjaculai, remplissant la capote de mon foutre chaud et gluant. Mon dieux que c’était bon !

Sur les quatre heures de trajet on se retrouvaient aux chiottes au moins trois fois. A l’arrivée en Gare de Lyon, on se quittaient en s’embrassant langoureusement sur le quai puis elle parti avec sa valise rouge se mélangeant à la foule.
Yann, 26 ans, de Toulon  


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